Expositions :
Peut-être, Paris, 1888, n°171 (Portrait de Coquelin) ;
Bibliographie :
Peut-être, Toussaint, 1910, p. 412 ;
Claude, 2005, p. 48 ;
Notice :
Gustave Coquelin, né en 1844, second frère de Constant, fit une carrière de journaliste. Un courrier adressé par Coquelin aîné à Friant en 1885 indique « J’ai promis à mon frère Gustave que vous lui feriez aussi son portrait » (cf. Claude, 2005, op. cit.).
En 1910 Maurice Toussaint (op. cit.) parle d’un portrait du frère de Coquelin peint en 1885 : lors d’un entretien, Friant raconte à Toussaint sa rencontre avec Coquelin aîné (en 1885) et dit « Quelques semaines plus tard j’avais le plaisir de faire son portrait, celui de son frère, celui de Mme Coquelin mère. » (Voir le n°1885-02-H pour le Portrait de Mme Coquelin mère). Ce portrait du frère est-il celui de Gustave mentionné par Friant dans sa lettre de 1885 ? On peut le supposer, mais sans certitude ; il pourrait s’agir d’un portrait du plus jeune frère de Constant, Ernest, qui fit une brillante carrière d’acteur sous le nom de Coquelin cadet et que Friant portraitura à plusieurs reprises.
Personne(s) représenté(e)(s) : Coquelin (Gustave) ;