Historique :
Collection Louis Corbin, Nancy ;
Don Louis Corbin (date ?)
Expositions :
Nancy, 1887 ;
Nancy, SLAA, 1888 (vérifier) ;
Paris, SAF, 1888, n°1040 ;
Nancy, 1988, pp. 13, 25, 39, n°6 repr. ;
Nancy, 1993, pp. 9, 15, 16, n°20 repr. ;
Nancy, 1999, pp. 34, 36, n°3, ill. 25 ;
Vic-sur-Seille, 2006, pp. 43, 65, n° 102 repr. ;
Nancy, 2016-17, p. 108, n°47c repr., p. 187 ;
Bibliographie :
Bournand, 1888, vol. 2 ;
Fouquier, 1888, repr. ch. IV, entre pp. 16 et 17 ;
Goutière, 1888, n°1040 (vérifier) ;
Anon., 1888 (i) (vérifier) ;
Anon, 1888 (ii) ;
Anon., 1888 (iii), repr.
Anon., 1889 (ii), p. 156 repr. ;
Meixmoron, 1896, pp. 29, 30, 34 ;
Hinzelin, 1899, p. 54 repr. ;
Toussaint, 1910, p. 415 (les canotiers lorrains) ;
Avril, 1923, p. 4 ;
Alexandre, 1931, p. 75 ;
Garçot, 1931, p. 74 ;
Hunziker, 1932, p. 2 ;
DTEF, 1933, p. 56 ;
Alexandre, 1946, p. 14 ;
Auteur?, 1987, p. 43 ;
Berbet, 1993, p. 71 repr. ;
Bouton-Corbin, 2002, p. 12 repr. ;
Claude, 2003, p. 108 ;
Claude, 2005, pp. 73, 74, 75 repr. ;
Sicard-Lenattier, 2007, p. 25 repr. ;
Cat. exp. Ornans, 2012, pp. 132, 151 repr. ;
Claudel, 2019, pp. 22-26 ;
Oeuvre(s) en rapport :
Canotiers, plume et encre brune sur papier, 1881 (coll. part.) ; dessin au fusain (Nancy, musée des Beaux-Arts – inv. 2006.0.9.(1204) ; plusieurs clichés montrant Friant et ses modèles posant dans l’atelier.
Notice :
L’un des tableaux les plus célèbres de Friant, Les canotiers de la Meurthe reçut un excellent accueil dès sa création en 1887. Son succès est certainement dû au réalisme convivial de la scène et à l’impression de gaieté et de vérité qui s’en dégage. On sent que Friant, grand sportif et pratiquant les sports nautiques, avait l’expérience de ces déjeuners joyeux et amicaux. Le Monde illustré du 9 mars 1889, op.cit. anon. 1889 (ii), évoque ainsi le tableau « Que de naturel et de vérité dans les attitudes ! Que de belle humeur dans toutes ces physionomies où rayonnent l’insouciante jeunesse et la joie de vivre ! Le peintre a rendu tout cela avec un rare bonheur….. « . Friant parle du tableau alors qu’il y travaille, dans une lettre à Coquelin Cadet « Je suis en plein travail à présent, je canote sur la toile et si ça marche, je ne regretterai pas d’avoir canoté sur l’eau. » (BNF inv. Mn-910).
Le Journal La Meurthe, op. cit. 1888 (i), décrit l’œuvre et précise le nom des personnages, dont Louis Corbin situé derrière le jeune homme en train de servir.
Sujet(s)/Thème(s) : Paysage ; Scène animée ; Travailleurs ;
Lieux : Bords de la Meurthe ;