Historique :
La Galerie d’Art, Mulhouse et Strasbourg ;
Collection particulière européenne ;
Vente, Aguttes, Paris, 14 juin 2013, n°39 (10 200€ F. I.) ;
Collection particulière, Metz (acquis à la vente ci-dessus) ;
Expositions :
Nancy, 1887 (ii) ;
Nancy, 2016-17, pp. 96, 98-99, n°38h repr., p. 187 ;
Bibliographie :
Anon., 1887 (iv) ;
H. T., 1887 ;
T., 1887 ;
Cat. exp. Nancy, 1999, p. 133 ;
Oeuvre(s) en rapport :
Notice :
A Tunis, Friant parcourt le quartier juif à la recherche de modèles. « Rien n’est délicieux, rien n’est joli comme les filles d’Abraham, depuis l’âge le plus tendre jusqu’à 18 ou 20 ans. On en voit qui vous donnent envie de vous prosterner devant. » (Lettre de Friant à Auguste Blain, printemps 1887, Nancy, musée des Beaux-Arts). C’est probablement l’une de ces jeunes filles qu’il a peinte dans ce tableau.
H. T. (op. cit.) et très élogieux dans sa critique de ce tableau et du n°0217-H : « Leïla tunisienne brodant est une jolie fille, habillée d’une robe jaune. Elle est assise, les jambes croisées, devant son métier à tapisserie. Ces deux œuvres méritent à coup sur tous les éloges. Elles sont remarquables par la finesse du coloris, la vive lumière répandue dans l’ensemble et l’entente du clair-obscur. La vigueur est adroitement mêlée à l’habileté et le caractère des types est bien saisi. Pour nous résumer en un mot, nous pouvons dire que « cela vit ».
Sujet(s)/Thème(s) : Travailleurs ; Voyages ;
Lieux : Tunisie ;