Historique :
Vente, Nîmes (Champion et Kusel), 17 juin 2000, n°349 (adj. 230 000FF), probablement acquis par Katrin Bellinger ;
Expositions :
Nancy, 1883 ;
Paris, 1883 (i) ;
Nancy, 1884 (i) ;
Nancy, 1884 (ii) ;
Paris, SAF, 1884, n°979 ;
Paris, 1889 (ii), n°606 ;
Nancy, SLAA, 1903 ;
Nancy, 1904, n°63 ;
Londres, 1989 (à vérifier) ;
Nancy, 2016-17, p. 75, n°21b repr., pp. 185, 187, 192 ;
Bibliographie :
Cobalt, 1883, p. 244 ;
Biez, 1884, p. 73 repr., p. 92 ;
Anon., 1884 (i), p. 179 ;
Dayot, 1884, p. 84 ;
Lafenestre, 1884 ;
La Roche, 1884 ;
Michel, 1884 ;
Meixmoron, 1896, p. 22 :
Alexandre, 1931, p. 74 ;
Garçot, 1931, p. 71 ;
Alexandre, 1946, p. 11 ;
Cat. exp. 1988, p. 25 ;
Bénézit, 1999, p. 711 ;
Cat. exp. Nancy 1999, pp. 20, 45, 128 – 130, 137, 155, 157 ;
Claude, 2005, p. 41 ;
Saur, 2005, t. 45, p. 26 ;
Notice :
« Ce fouillis où tout est distinct, cet encombrement où tout est clair, est peint dans une tonalité délicieuse. On ne saurait dire vraiment de quoi est fait le talent de M. Friant. Son pinceau est un charmeur d’une habileté merveilleuse. Sans être coloriste, il est, si l’on nous passe l’expression, nuanciste au suprême degré ; il a le je ne sais quoi facile, garcieux, et séduisant – comme les vers de La Fontain et et la prose de Voltaire. »(cf. Cobalt, 1883, op. cit.).